Date de publication : 03/07/2019
Boutique DFS en zone sous douane « Départs » de l’aérogare de TULEAR
Sélection de candidat pour l’exploitation de la boutique DFS en zone sous douane « Départs » de l’aérogare de TULEAR
Date de publication : 21/06/2019
Développement des six aéroports internationaux (Toamasina, Sainte-Marie, Toliara, Taolagnaro, Mahajanga, Antsiranana) ainsi que quatre aéroports principaux (Sambava, Morondava, Mananjary et Fianarantsoa)
La société Aéroports de Madagascar (ADEMA SA) lance un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) afin d’identifier et de sélectionner des partenaires/investisseurs potentiels pour le développement des six aéroports internationaux (Toamasina, Sainte-Marie, Toliara, Taolagnaro, Mahajanga, Antsiranana) ainsi que des quatre aéroports principaux (Sambava, Morondava, Mananjary et Fianarantsoa) que l’Etat Malagasy lui a confié par le biais d’un Décret de délégation de pouvoir.
Date de publication : 26/07/2021
Sélection de candidats pour la gestion, l’exploitation et le développement des aérodromes secondaires
La société Aéroports de Madagascar (ADEMA SA) lance un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour la gestion, l’exploitation et le développement des aérodromes secondaires ouverts à la circulation aérienne publique suivants:
Aérodromes avec AFIS: Ambatondrazaka, Tsiroanomandidy
Aéerodromes sans AFIS: Ambalavao, Ambatomainty, Ambilobe, Ampanihy, Amborodia (Bekopaka), Andapa, Ankavandra, Ankazoabo, Antsalova, Befandriana-Avaratra, Bekily, Beroroha, Betioky, Betroka, Malaimbandy, Mandabe, Morafenobe, Port-Bergé, Soalala, Tsaratanàna et Vatomandry
Date de publication : 15/10/2021
Extension du Terminal passager de l’Aéroport de Maroantsetra
La société Aéroports de Madagascar (ADEMA SA) lance un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour la conception et l’étude architecturale et technique de l’extension de l’aérogare de Maroantsetra
Date de publication : 21/10/2022
Sélection de candidats pour la gestion, l’exploitation et le développement des aérodromes secondaires
La société Aéroports de Madagascar (ADEMA SA) lance un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour la gestion, l’exploitation et le développement des aérodromes secondaires ouverts à la circulation aérienne publique suivants:
Aérodromes avec AFIS (1): Tsiroanomandidy
Aéerodromes sans AFIS (22): Ambalavao, Ambatomainty, Ambilobe, Ampanihy, Amborodia (Bekopaka), Andapa, Ankavandra, Ankazoabo, Antsalova, Bealanana, Befandriana-Avaratra, Bekily, Beroroha, Betioky, Betroka, Malaimbandy, Mandabe, Morafenobe, Port-Bergé, Soalala, Tsaratanàna et Vatomandry
Date de publication : 19/01/2023
Projet de diversification des activités extra-aéronautiques d’ADEMA
La Société ADEMA S.A envisage l’élaboration du business plan de son projet de diversification de ses activités. Ainsi, l’AMI suivant consiste en diverses prestations intellectuelles réparties en deux (02) lots, à savoir :
Lot 1: Assistance à la diversification des activités extra-aéronautiques
Date de publication : 26/01/2023
Sélection de candidats pour la gestion, l’exploitation et le développement des aérodromes secondaires ouverts à la circulation aérienne publique (CAP) à Madagascar
La Société ADEMA S.A porte à la connaissance du public que la date limite de réception des offres de manifestation d’intérêt à la recherche de partenariat pour le développement des aérodromes secondaires ouverts à la circulation aérienne publique à Madagascar prévue le mardi 31 janvier 2023 à 12H00 locale est reportée au vendredi 31 mars 2023 à 12H00 locale
Le processus d’ouverture du secteur aéroportuaire malgache est bel et bien acté. La société Aéroports de Madagascar (ADEMA) sollicite actuellement l’intérêt des investisseurs privés potentiels afin de parvenir à des partenariats mutuellement bénéfiques au profit des 10 aéroports internationaux et principaux qui lui sont confiés par l’Etat.
En 2018, les 10 aéroports principaux et les 44 aérodromes secondaires exploités par ADEMA ont traité plus de 450 000 passagers et plus de 2000 tonnes de fret.
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Mature. Aéroports de Madagascar – ADEMA S.A – a soufflé ses 30 bougies le 26 février 2021 dernier. A l’occasion de cette célébration, je tiens tout d’abord à féliciter tous les membres, précédents et actuels, du Conseil d’Administration, dirigé par son Président. Je voudrais également vous présenter, à chacun d’entre vous, notre profonde gratitude d’avoir été toujours là. Sans votre soutien et vos contributions, nous croyons fortement que nous ne serions pas là aujourd’hui.
Pour un bref historique, les 25 premières années ont été particulièrement marquées par sa performance financière. La Société avait la possibilité de renforcer les compétences de ses ressources humaines, d’entretenir ses patrimoines et même d’investir dans divers travaux d’aménagement et d’extension des infrastructures et autres installations aéroportuaires. ADEMA pouvait même se réjouir de pouvoir distribuer des dividendes, à l’époque.
Malencontreusement, les cinq dernières années ont été quelque peu difficiles pour ADEMA. Son chiffre d’affaires n’a cessé de chuter depuis le retrait des deux principaux aéroports, Ivato et Nosy-Be en l’occurrence, de son périmètre de concession initiale. Pourtant, à eux tous seuls, ces deux aéroports généraient les 90% de ses recettes. Le non-recouvrement des créances de l’Etat, de celles de nos clients et de la redevance de concession de Ravinala Airports pour l’année 2020 respectivement de vingt milliards d’Ariary, de onze milliards d’Ariary et de treize milliards d’Ariary et la crise sanitaire Covid-19, qui a coupé les ailes au trafic aérien mondial, ont mis également notre Société dans une situation encore plus délicate. Lors de la passation de service avec notre prédécesseur, le 19 février 2021, le solde de la trésorerie d’ADEMA était de 5.471.678.958 Ariary. Ce qui ne représente que 44% du budget de fonctionnement 2021 de la Société.
Toutefois, nous ne nous plaignons pas. Malgré la situation difficile dans laquelle se trouve actuellement le monde entier, et plus particulièrement du secteur du transport aérien, ADEMA est résolument prête à reprendre du poil de la bête. Dorénavant dans notre phase de maturité, nous prévoyons de bien meilleurs résultats pour les 30 prochaines années de notre Société. Une des premières mesures que nous venons de prendre, afin d’assurer tout d’abord cette année 2021, est la restriction des charges compressibles. En parallèle à cela, une stratégie de recouvrement des créances va être engagée. Pour ce qui est du moyen terme, le programme d’actions pour les cinq ans à venir sera fixé et immédiatement appliqué, dès validation du Conseil d’Administration.
Nous sommes confiants qu’ADEMA a la capacité de reprendre son envol et de redevenir une fierté pour Madagascar.
Mature. Aéroports de Madagascar – ADEMA S.A – a soufflé ses 30 bougies le 26 février 2021 dernier. A l’occasion de cette célébration, je tiens tout d’abord à féliciter tous les membres, précédents et actuels, du Conseil d’Administration, dirigé par son Président. Je voudrais également vous présenter, à chacun d’entre vous, notre profonde gratitude d’avoir été toujours là. Sans votre soutien et vos contributions, nous croyons fortement que nous ne serions pas là aujourd’hui.
Pour un bref historique, les 25 premières années ont été particulièrement marquées par sa performance financière. La Société avait la possibilité de renforcer les compétences de ses ressources humaines, d’entretenir ses patrimoines et même d’investir dans divers travaux d’aménagement et d’extension des infrastructures et autres installations aéroportuaires. ADEMA pouvait même se réjouir de pouvoir distribuer des dividendes, à l’époque.
Malencontreusement, les cinq dernières années ont été quelque peu difficiles pour ADEMA. Son chiffre d’affaires n’a cessé de chuter depuis le retrait des deux principaux aéroports, Ivato et Nosy-Be en l’occurrence, de son périmètre de concession initiale. Pourtant, à eux tous seuls, ces deux aéroports généraient les 90% de ses recettes. Le non-recouvrement des créances de l’Etat, de celles de nos clients et de la redevance de concession de Ravinala Airports pour l’année 2020 respectivement de vingt milliards d’Ariary, de onze milliards d’Ariary et de treize milliards d’Ariary et la crise sanitaire Covid-19, qui a coupé les ailes au trafic aérien mondial, ont mis également notre Société dans une situation encore plus délicate. Lors de la passation de service avec notre prédécesseur, le 19 février 2021, le solde de la trésorerie d’ADEMA était de 5.471.678.958 Ariary. Ce qui ne représente que 44% du budget de fonctionnement 2021 de la Société
Toutefois, nous ne nous plaignons pas. Malgré la situation difficile dans laquelle se trouve actuellement le monde entier, et plus particulièrement du secteur du transport aérien, ADEMA est résolument prête à reprendre du poil de la bête. Dorénavant dans notre phase de maturité, nous prévoyons de bien meilleurs résultats pour les 30 prochaines années de notre Société. Une des premières mesures que nous venons de prendre, afin d’assurer tout d’abord cette année 2021, est la restriction des charges compressibles. En parallèle à cela, une stratégie de recouvrement des créances va être engagée. Pour ce qui est du moyen terme, le programme d’actions pour les cinq ans à venir sera fixé et immédiatement appliqué, dès validation du Conseil d’Administration.
Nous sommes confiants qu’ADEMA a la capacité de reprendre son envol et de redevenir une fierté pour Madagascar.
Capitale du Nord de Madagascar, Antsiranana ou Diégo-Suarez est une ville portuaire qui dispose d’un chantier naval et d’un tissu industriel appelé à émerger davantage (exploitation de marais salants, pêche thonière, énergie éolienne, brasserie…). Les institutions financières de type banques primaires et établissements de microfinance y sont implantées en nombre. Des initiatives économiques privées à travers les PME/MPE existent également et tendent à se multiplier. Le chef-lieu de la région DIANA présente des attraits notables pour les investisseurs qui ont conduit les autorités à envisager l’implantation d’une zone économique à vocation exportatrice.
Le tourisme constitue l’autre secteur porteur et l’ouverture en nombre ces dernières années d’établissements hôteliers de standing témoigne de ce dynamisme. « La destination Diégo », très prisée des touristes en provenance des îles de l’océan Indien mais aussi des pays plus lointains, offre une variété de découvertes et de loisirs. La plupart des visiteurs rejoignent Antsiranana par voie aérienne et pour accompagner le développement touristique de la ville et de sa région, il est important que les infrastructures de transport, particulièrement les équipements aéroportuaires, se conforment à la trajectoire que prend le développement de l’aérien sur le plan national, régional et international.
L’aéroport international d’Antsiranana est situé à 7,4 km au Sud du centre-ville. Pour que la plateforme puisse réunir les conditions nécessaires à son rayonnement national, régional et international, il lui est indispensable de se mettre aux normes et de s’étendre. Des investissements sont nécessaires pour surmonter ses faiblesses actuelles aussi bien au niveau des infrastructures que des équipements.
L’aéroport d’Antsiranana se caractérise en effet par un déficit infrastructurel qui empêche d’accueillir les avions gros porteurs qui voudraient opérer la destination. Les faiblesses recensées restreignant les possibilités de développement de l’aéroport sont : la présence des obstacles (montagne des français, talweg), la faible de la dimension de la piste aussi bien en largeur qu’en longueur, la capacité limitée du terminal passager actuel, l’insuffisance en profondeur des parkings avions, la déficience des équipements dédiés à la sécurité et à la navigation aérienne.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport d’Antsiranana vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur par la mise aux normes de l’exploitation technique et commerciale de l’aéroport pour l’accueil des avions gros porteurs de type A340 ou B777. A noter par ailleurs qu’Antsiranana, moyennant un investissement conséquent, peut aussi construire de nouvelles infrastructures sur le nouveau site d’Andrakaka (45km au sud-ouest de la ville). L’objectif est de faire de la plateforme le hub aérien du Nord de Madagascar avec un rayon de destinations qui va jusqu’en Asie et en Europe.
Le guide tarifaire pour les activités aéronautiques actuellement en vigueur peuvent être consulté ou téléchargé en suivant le lien suivant :
Guide tarifaire
Votre interlocuteur/trice pour toutes informations relatives à l’Aviation commerciale :
Mme/Mr …..
Tel. +261 22 440 42
Email: adema@adema.mg
Le changement d’orientation politique, en 1975, a conduit l’Etat Malagasy à reprendre la gestion des aéroports du pays par l’intermédiaire du Ministère en charge des transports. Avant cette réforme privilégiant la nationalisation des secteurs clés, les aéroports du pays étaient gérés par l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA).
En 1989, face à la nécessité d’une grande réhabilitation du secteur aéroportuaire, l’Etat Malagasy a décidé d’octroyer à un organisme autonome la gestion, l’entretien et l’exploitation des infrastructures aéroportuaires, initiative prise sur la recommandation des bailleurs de fonds intéressés par le financement de ces réhabilitations. Certains aéroports nécessitaient, en effet,
une autonomie pour une gestion simple et organique.
Une société de droit privé, Aéroports de Madagascar (ADEMA), a donc été créée le 5 juillet 1990 avec un capital détenu à hauteur de 34% chacun par l’Etat et Aéroports de Paris, le reste étant détenu par divers partenaires.
C’est dans ce cadre que depuis le 26 février 1991, l’Etat a officiellement concédé la gestion et I ‘exploitation de douze aéroports de Madagascar à ADEMA pour une durée de 15 ans, la concession ayant été tacitement reconduite depuis lors par période de 5 ans.
Au milieu des années 2005, la société Aéroports de Paris se retire du capital d’ADEMA dans la perspective de se positionner en tant que candidat à la reprise de la société dans le cadre d’un
processus de privatisation lancé par le gouvernement de l’époque.
En 2017, pour concrétiser la politique de désengagement de l’Etat du secteur aéroportuaire et suite à la mise en concession des aéroports internationaux d’Ivato et de Nosy Be au profit de la société Ravinala Airport (consortium ADP, Bouygues, Méridiam et Colas), l’Etat a confié une nouvelle mission à ADEMA, qui devient le « Délégataire » de pouvoir de l’Etat en matière de construction, de gestion et d’exploitation des aéroports et aérodromes secondaires ouverts à la circulation aérienne publique.
Sambava, capitale de la région SAVA, se trouve en pleine région de production de la vanille, du café et du girofle. Véritable plaque tournante du commerce des produits de rente de la région, la ville possède aussi la plus grande cocoteraie industrielle du pays. Du fait de sa richesse agricole, le pouvoir d’achat de la population y est nettement plus élevé par rapport aux autres régions du pays.
Des richesses minières comme le saphir, l’or ou l’améthyste font également la réputation de Sambava. La ville et ses environs possèdent en outre de nombreux attraits touristiques, dont trois aires protégées : la Réserve de Marojejy, la Réserve d’Anjanaharibe Sud et le Parc national de Masoala. Les touristes qui viennent visiter la destination empruntent en très grande partie l’avion.
L’aéroport de Sambava se situe dans la partie est de la ville. Sa taille modeste et la nécessité pour la plateforme de se conformer aux normes techniques et commerciales demandent des investissements dans le cadre d’un projet qui comportera plusieurs phases. L’objectif premier étant de réaliser les travaux d’urgence pour pallier aux insuffisances comme la faible portance des chaussées aéronautiques, l’exiguïté du terminal passager, la dégradation du local fret et la dimension de la piste qui mérite d’être agrandie.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Sambava vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur.
« Les aéroports au centre des défis pour l’émergence de Madagascar » résume la vision d’entreprise qui porte notre engagement. Elle détermine notre mission, elle décline notre stratégie et notre ambition pour l’avenir en tant que pivot du grand projet de redimensionnement du rayonnement national, régional et international des aéroports sous la tutelle d’ADEMA, aux fins de concrétiser l’émergence économique et sociale de Madagascar.
A travers cette vision, ADEMA met en œuvre un programme d’orientation stratégique qui priorise la préservation des acquis et l’arrimage aux évolutions de l’industrie aérienne mondiale. Une orientation déclinée en un plan opérationnel au sein duquel la sécurité occupe une place prépondérante. Ainsi, le standard européen EASA a été adopté comme base de la réglementation nationale.
Pour ADEMA, la réalisation de la vision et la réussite du programme ne pourront être que collectives et reposent sur la conviction, l’adhésion et la mobilisation de tous. Sa capacité d’adaptation face aux changements, aux attentes du marché et aux spécificités de ses clients et partenaires passe par le dynamisme de chacun de ses collaborateurs. La volonté d’aller de l’avant et la prise d’initiatives sont, au sein de l’entreprise, fortement encouragés.
S’implanter dans nos aéroports
Le guide tarifaire pour s’implanter dans nos aéroports actuellement en vigueur peuvent être consulté ou téléchargé en suivant le lien suivant :
Votre interlocuteur/trice pour toutes informations relatives à l’implantation dans nos aéroports :
Mme/Mr …..
Tel. +261 22 440 42
Email: adema@adema.mg
Guide Tarifaire Domanial
Le guide tarifaire domanial actuellement en vigueur peut être consulté ou téléchargé en suivant le lien suivant :
Votre interlocuteur/trice pour toute informations relatives au domaniale :
Mme/Mr …..
Tel. +261 22 440 42
Email: adema@adema.mg
Cité portuaire du Nord-Ouest de Madagascar, Mahajanga, capitale de la région de Boeny, est depuis toujours une ville cosmopolite du fait de ses habitants venant de tous les horizons (Afrique-Péninsule Arabique-Inde -Europe-Asie). Elle est dotée d’une potentialité touristique et économique importante. Les touristes internationaux qui visitent Mahajanga et la région ne cessent de croitre ces dernières années. Ce qui a conduit à l’amélioration significative de son offre touristique et hôtelière.
La ville reste également la base arrière d’une industrie emblématique de Madagascar, la valorisation de la pêche et de l’aquaculture de crevettes. La filière énergies renouvelables devrait connaitre, par ailleurs, un essor remarquable à Mahajanga ainsi que le secteur des services (inclusion financière, nouvelles technologies de l’information, formation professionnelle, assistance aux entreprises…). C’est cette dynamique économique en puissance que le transport aérien devrait accompagner et justifier la nécessité de moderniser la plateforme aéroportuaire de la ville.
L’aéroport international de Mahajanga est situé à 7,7 km au nord-est du centre-ville. Pour pouvoir exploiter pleinement ses potentialités, la plateforme doit investir pour surmonter ses handicaps actuels, tels que l’arrachement et la faible portance des chaussées aéronautiques. Divers travaux s’imposent pour que l’aéroport puisse accueillir des avions gros porteurs. Les perspectives de croissance du trafic aussi bien pour les passagers que le fret milite en faveur de cette optique de modernisation.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Mahajanga vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur par la mise aux normes de l’exploitation technique et commerciale de l’aéroport pour l’accueil des avions gros porteurs de type A340 ou B777. L’objectif est de faire de la plateforme le hub de la région Ouest du pays.
ADEMA s’est engagé dans une démarche d’amélioration continue, en matière de qualité, sécurité et environnement, à satisfaire pleinement et en toutes transparences aux exigences des parties intéressées que sont les actionnaires, clients, les collaborateurs, les partenaires et les services de l’Etat.
Trois valeurs articulent l’identité notre société et constituent notre culture d’entreprise. Elles se sont construites au sein des équipes, au fil du temps. Nous les transmettons, en interne, dans nos principes de management, en externe, dans les relations que nous entretenons avec nos partenaires.
L’esprit ADEMA, c’est instaurer et pérenniser des relations de confiance sur le principe d’éthique. La société, à travers ses aéroports et aérodromes, est présente dans les régions de Madagascar aux contextes différents, et s’attache partout à garantir l’application des principes universels des Droits de l’Homme dans le travail.
Son éthique garantit aussi la simplicité des contacts entre les collaborateurs et la fiabilité des échanges avec les parties prenantes externes (clients, fournisseurs, partenaires).
Les valeurs d’éthique et de responsabilité prônées par ADEMA visent également à assurer en toute sécurité et conformément à la réglementation, l’aménagement, le fonctionnement et l’usage des biens et services nécessaires à la circulation des aéronefs sur ses plateformes
L’équipe d’ADEMA privilégie une écoute attentive et permanente pour l’amélioration de la satisfaction de tous les usagers. C’est à cet effet que l’accent est mis sur la qualité de ses engagements et de ses services vis-à-vis de toute la chaîne économique. Les clients – compagnies aériennes, passagers, prescripteurs… – sont au cœur de ses préoccupations, de la conception du produit jusqu’au service après-vente.
La transmission des informations, des savoir-faire et le partage d’expériences sont aussi des éléments indispensables à la réalisation des missions d’ADEMA et plus largement à la poursuite de son développement. Car ses métiers exigent une interaction constante et un véritable travail d’équipe. Cela implique une écoute permanente et une reconnaissance de la contribution de chacun.
Nos clients comptent sur notre disponibilité, notre sens de la compréhension et notre savoir-faire. Nos collaborateurs font notre force. La considération pour chacun et pour ce qu’il apporte à l’enrichissement de notre partnership est le socle de ce que nous sommes. Pour ADEMA, la différence et la diversité sont des richesses. Elles offrent des perspectives nouvelles qui renforcent son organisation.
Le respect implique pour ADEMA de prendre en compte non seulement ses intérêts, mais également les intérêts de toutes les parties prenantes : collaborateurs, clients, fournisseurs, partenaires, etc. La société a choisi de faire de la diversité des expériences, des parcours, des origines et des attentes un gage de pérennité dans ses actions.
L´île Sainte Marie, située au large de la côte orientale de Madagascar, à 35 km de Soanierana-Ivongo, est l´une des destinations touristiques phares de la Grande île. Avec ses plages, ses forêts et ses sites historiques, Sainte-Marie accueille un nombre croissant de visiteurs internationaux chaque année. De plus, le festival annuel des baleines est devenu une attraction mondialement reconnue. La beauté de l’île et la diversité des distractions proposées en font un site idéal pour des vacances en famille ou pour se ressourcer. Toute l’économie de Sainte-Marie repose sur le tourisme. Cependant, des activités comme l’exploitation des ressources halieutiques et l’inclusion financière contribuent aussi à son développement. Les productions agricoles de l’île sont surtout destinées à l’autosubsistance : riz, manioc, patate douce… La principale production est celle du girofle, en moyenne 600 tonnes de clous par an (le clou est le bouton floral non épanoui et desséché).
Le trafic aérien sert essentiellement aux activités touristiques et les infrastructures aéroportuaires de l’île doivent suivre la tendance de développement du secteur. En 2015, l’aéroport a déjà bénéficié d’importants travaux de modernisation, avec une extension de l’aérogare. Ces travaux ont permis de tripler la surface utilisée soit 1500m², pour une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 50 000 passagers. L’aérogare a été dotée entre autres de nouveaux sièges, d’un nouveau salon d’honneur, de nouvelles boutiques dont une sous douane, et surtout d’un système de climatisation.
En outre, l’aéroport dispose d’une réserve foncière pour la construction d’un hôtel in situ.
L’aéroport international de Sainte-Marie, est situé près de la pointe sud de l’île. Si la plateforme a connu des travaux d’amélioration ces dernières années, elle doit poursuivre son développement afin de se conformer aux normes internationales et d’offrir des infrastructures en adéquation avec les besoins de la filière touristique.
Parmi les améliorations à apporter pour l’accueil des avions moyens porteurs de type B737, notons le rallongement de la piste, l’aménagement des accotements la piste et des bretelles, le renforcement des chaussées aéronautiques, l’augmentation du nombre de postes de stationnement, la construction de nouveau terminal passager (en cas de besoin) et la mise en place de dépôt carburant aviation.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Sainte Marie vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur.
Booster les performances aéroportuaires de Madagascar à travers une politique ambitieuse de modernisation et de mise aux normes des infrastructures, de l’élargissement du rayonnement national et international des aéroports, et d’une mise en conformité de l’organisation et des compétences selon les standards internationaux.
En 2018, les aéroports principaux et les aérodromes exploités par ADEMA ont traité 495 000 passagers et plus de 2000 tonnes de fret. Dans le cadre du plan de certification et d’extension des infrastructures en partenariat avec le secteur privé et un management innové, ces chiffres sont appelés à connaitre une croissance exponentielle. Surtout que les projets du gouvernement pour booster le secteur touristique par l’amélioration sensible de l’offre hôtelière et la promotion active de la destination Madagascar sont déjà en train de prendre forme et devraient rapidement donner des résultats tangibles.
Les accords aériens signés par Madagascar avec de nombreux pays sur les cinq continents et l’adhésion à différentes conventions régionales et internationales ouvrent en outre des perspectives encore plus intéressantes dans le cadre d’une stratégie de multiplication des routes aériennes dédiés aux vols long-courriers.
Enfin, afin de dynamiser la mobilité sur le plan national et au niveau de la sous-région, ADEMA a pris l’option stratégique de mettre sur pieds quatre hubs régionaux (Toamasina, Toliara, Mahajanga et Antsiranana). L’émergence de Madagascar passe par l’accessibilité des voyageurs, notamment les opérateurs économiques et les touristes, aux différentes régions et aux divers sites touristiques.
Toamasina abrite le plus grand port de Madagascar d’où son titre de capitale économique du pays. L’essentiel des échanges commerciaux de la Grande Ile passe par Toamasina qui dispose également d’un tissu productif conséquent sans oublier l’implantation d’Ambatovy, le plus important projet minier réalisé à Madagascar. Toamasina est ainsi une destination d’affaires de premier plan et la part importante des opérateurs économiques dans le trafic aérien démontre ce constat. Mais le tourisme est aussi un secteur qui connait une croissance continue à Toamasina et dans les régions environnantes.
La deuxième ville du pays peut en outre miser sur les grands projets structurants pour booster son économie à l’instar de l’extension du port, la construction de la centrale hydroélectrique de Volobe ou le projet Antananarivo –Toamasina (TaTom). Des perspectives qui ne manqueront pas d’impacter positivement sur le secteur du transport aérien et qui justifient largement l’optique d’acter dans les meilleurs délais l’extension de l’aéroport international de Toamasina.
L’aéroport international de Toamasina est situé à 5 km au nord-ouest de la ville de Toamasina. Les perspectives de développement de l’aéroport sont limitées du fait que les infrastructures existantes ne sont plus adaptées aux exigences du marché. La dégradation et la faible portance des chaussées aéronautiques ne permettent pas d’accueillir les appareils gros porteurs. L’exiguïté du terminal passager ne s’arrime pas avec les perspectives de développement du trafic. Les accotements de piste et les bretelles doivent être aménagés tout comme les postes de stationnement pour l’accueil simultané des avions gros porteurs. La longueur limitée de la piste constitue également un frein à la croissance du trafic de l’aéroport.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Toamasina vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur par la mise aux normes de l’exploitation technique et commerciale de l’aéroport pour l’accueil des avions gros porteurs de type A340 ou B777. L’objectif est de faire de la plateforme le hub de la région Est du pays.
ADEMA c’est 28 années et plus de 300 collaborateurs au service du développement aéroportuaire à Madagascar
ADEMA exploite 6 aéroports internationaux, 4 aéroports principaux et 44 aérodromes ouverts à la circulation aérienne publique. En tout, c’est 54 plateformes qui sont sous sa tutelle.
ADEMA c’est plus de 495 000 passagers traités et 2000 tonnes de fret au cours de l’année 2018 grâce à plus de 25 000 mouvements de trafics enregistrés.
ADEMA collabore dans un esprit de partenariat avec 6 compagnies aériennes régulières et une dizaine de transporteurs évoluant dans le secteur de l’aviation d’affaires et des vols à la demande.
Capitale administrative et économique de la région Menabe, Morondava est surtout connu pour sa spectaculaire Allée des baobabs. Des dizaines de milliers de touristes internationaux ont choisi la destination Madagascar pour découvrir notamment ce site naturel exceptionnel. Mais Morondava offre également d’autres attraits touristiques et des opportunités économiques qui ne demandent qu’à être exploitées.
De l’exploitation des ressources halieutiques au chantier naval en passant par l’industrie sucrière, l’artisanat et la culture des arachides, de nombreuses filières font vivre la population. L’industrie des hydrocarbures devrait aussi dans les prochaines années contribuer au développement de Morondava et du pays en général. La politique de l’Etat visant à soutenir activement les secteurs économiques porteurs dans un objectif d’émergence va certainement booster le trafic aérien à Morondava et dans la région et nécessite que les infrastructures aéroportuaires locales soient à la hauteur de cette ambition de développement.
L’aéroport de Morondava est situé à 4,5 km à l’est du centre-ville. Pour jouer avec efficience son rôle de propulseur du secteur touristique en particulier et de l’économie en général, la plateforme doit gagner en modernité et en espace. L’exiguïté du terminal passager actuel, l’insuffisance en taille de son tarmac ou encore la faiblesse de la portance de sa piste sont autant de handicaps qu’il faudrait surmonter à court et moyen terme.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Morondava vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur par la mise aux normes de l’exploitation technique et commerciale de l’aéroport pour l’accueil des avions de type B737.
Fianarantsoa est l’une des villes les plus commerçantes de Madagascar et le commerce constitue une activité prépondérante. Outre le tertiaire, l’agriculture tient également une place dans l’économie. La région avoisinante cultive partiellement le tabac, le riz, le raisin et le café. Elle possède également des fermes spécialisées. Fianarantsoa est aussi la capitale malgache du vin.
Parmi les industries de la ville, la plupart sont agroalimentaires : des industries vinicoles, des savonneries, des huileries, des industries de traitement du riz. La ville abrite aussi une usine pharmaceutique et pratique une culture industrielle de thé. Elle possède également une industrie de montage automobile « KARENJY » qui est la seule industrie automobile de Madagascar.
L’aéroport de Fianarantsoa est situé à moins de 3 km du centre-ville. Sa taille actuelle et l’état de ses équipements nécessitent des travaux d’extension et de modernisation. La plateforme doit aussi se conformer aux normes techniques et commerciales dans le cadre d’un projet qui comportera plusieurs phases. L’objectif premier étant de réaliser les travaux d’urgence pour pallier aux insuffisances comme la faible portance des chaussées aéronautiques, la faible capacité du terminal passager, la dégradation des bandes de piste.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Fianarantsoa vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar.
Mananjary est un ex-chef-lieu de préfecture. Le développement de la région est inséparable des cultures de rentes de son hinterland, de la RN25 qui la relie à Fianarantsoa et surtout du Canal des Pangalanes qui en fait un port fluvial de cabotage.
Mananjary et ses environs disposent de potentiel certain (variété des secteurs d’activité et des spéculations, sols de bonne qualité, bonne pluviométrie, ressources naturelles et minières). Trois pôles de développement ont ainsi été définis autour des opportunités et atouts pouvant être mis en valeur (production agricole, tourisme, mines). Sur le plan culturel, le Sambatra (cérémonie de circoncision collective traditionnelle) constitue une attraction touristique et événementielle.
C’est dans cette perspective que l’aéroport de Mananjary souhaite mieux se positionner sur l’échiquier du développement régional et envisage de se moderniser.
L’aéroport de Mananjary se situe à 3,8 km au nord du centre-ville. Sa taille actuelle et l’état de ses équipements nécessitent des travaux d’extension et de modernisation. La plateforme doit aussi se conformer aux normes techniques et commerciales dans le cadre d’un projet qui comportera plusieurs phases. L’objectif premier étant de réaliser les travaux d’urgence pour pallier aux insuffisances comme la dégradation du tarmac, la faible capacité du terminal passager, la dimension de la piste qui doit être agrandie.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Mananjary vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur.
Toliara et la région environnante constituent une destination touristique de premier plan. L’offre d’hébergement et de loisirs s’est considérablement développée ces dernières années et la tendance n’est pas prête de s’inverser. Toliara se construit en outre un avenir de hub commercial sous régional à travers des projets comme l’ouverture d’une autoroute maritime qui relie son port avec celui de Durban (Afrique du Sud).
La région Sud-Ouest, dont Toliara est la capitale, offre en effet une diversité de potentialités économiques. Des ressources minières aux ressources halieutiques en passant par l’énergie solaire ou encore l’industrie cotonnière qui devrait être relancée prochainement, les secteurs porteurs sont nombreux et leur développement nécessite une meilleure connectivité.
L’aéroport de Toliara se situe à 7 km au sud-est du centre-ville de Toliara. Avec un terminal d’une superficie de 3 022 m2, l’aéroport de Toliara est le troisième grand aéroport de Madagascar, après ceux d’Ivato et de Mahajanga. Il peut accueillir simultanément deux avions de type Boeing 737.
La situation actuelle de l’aéroport de Toliara se caractérise cependant par l’inadéquation entre les infrastructures aéroportuaires et les dimensions des aéronefs gros porteurs qui voudraient exploiter la destination. Notons parmi les faiblesses identifiées qui limitent la marge de développement de l’aéroport la faible dimension de la piste aussi bien en largeur qu’en longueur, l’insuffisance en profondeur des parkings avions, la déficience des équipements dédiés à la sécurité et à la navigation aérienne.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Toliara vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur par la mise aux normes de l’exploitation technique et commerciale de l’aéroport pour l’accueil des avions gros porteurs de type A340 ou B777. L’objectif est de faire de la plateforme le hub de la région Sud du pays.
Avec l’implantation du géant minier Rio Tinto (extraction de sables minéralisés), la construction du port d’Ehoala, l’aménagement de la zone économique spéciale et le développement du tourisme, Taolagnaro est devenue une ville qui suscite l’intérêt des investisseurs. Force est de remarquer que l’économie de la ville et de la région Anosy se diversifie si avant, elle ne reposait que sur l’exportation des langoustes, des crabes, des algues desséchées et du sisal.
Cette nouvelle cité portuaire de l’extrême sud-est de Madagascar a en effet de nombreux atouts à faire valoir sur le plan économique. Raison pour laquelle les compagnies Air Austral/Air Madagascar ont décidé de programmer Taolagnaro parmi ses destinations. Un choix que d’autres compagnies devrait aussi suivre dans les prochaines années et qui confirme la nécessité pour la plateforme aéroportuaire de la ville de s’étendre et de se moderniser.
L’aéroport international de Taolagnaro est situé à 3 km au sud-ouest du centre-ville. Sa position géographique lui offre la possibilité de développer, de jouer un rôle de premier ordre dans le développement du secteur aérien sur le plan régional. Ses potentialités touristiques lui permettent aussi d’envisager des liaisons internationales directes à l’instar de celles de l’île de Nosy-Be. Mais pour concrétiser ses ambitions, Taolagnaro doit en premier lieu disposer d’un aéroport au diapason des exigences du marché aussi bien sur le plan commercial qu’au niveau sécurité. D’où la nécessité de procéder à des travaux de mise aux normes et d’agrandissement des infrastructures existantes qui souffrent d’un certain nombre de faiblesses.
Parmi les déficiences qui freinent l’essor de l’aéroport, notons l’insuffisance des dimensions de la piste, l’absence des accotements de la piste et des bretelles, le nombre limité de postes de stationnement, l’exigüité de l’aérogare actuelle, l’insuffisance en profondeur des bandes de piste et des parkings avions qui constituent d’autres facteurs de limitation du développement de l’aéroport. Par contre, la mise en place prochaine de balisage électrique contribuera à l’amélioration de la flexibilité du trafic.
Le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport de Taolagnaro vise à améliorer la connectivité aérienne entre les régions de Madagascar et avec l’extérieur par la mise aux normes de l’exploitation technique et commerciale de l’aéroport pour l’accueil des avions gros porteurs de type A340 ou B777.
Par le Décret N°2017- 007 du 3 janvier 2017, l’Etat Malagasy a aussi délégué à Aéroports de Madagascar les pouvoirs de construire, de gérer et d’exploiter les 44 aérodromes civils ouverts à la circulation aérienne publique.